Voici la liste des proches du Pr. Gbagbo envoyés au nord du pays!

Publié le par thruthway

golf-tortureAprès le transfert du Président Laurent Gbagbo à Korhogo et sa femme Simone à Odienné, les autorités du Golf Hôtel ont décidé de ne plus cohabiter avec ceux qu’ils appellent « les indésirables de la république du Golf ».

Des sources du camp ouattara indiquent les collaborateurs du Président Laurent Gbagbo ont été scindés en plusieurs groupes et acheminés vers les destinations suivantes:

-Katiola

-Korhogo

-Bouna


Les personnalités transférées dans la prison de Katiola :


1. Directeur du protocole : KONE Boubacar
2. Chef du Cabinet : KUO Téa Narcisse
3. Ministre Jean jacques BECHIO
4. Ministre BRO GREBE
5. SECRETAIRE d’ETAT ABOUDRAMANE Sangaré

Les collaborateurs de Gbagbo transférés à la compagnie territoriale de Korhogo

1. Générale de brigade : Dogbo Blé Bruno
2. Médecin Colonel : Daléba René
3. Commissaire Principal de police : Monnet Denis
4. Chef de Bataillon : Dua Kouassi Norbert
5. Commissaire de Police : Guédé Zakali
6. Capitaine Majore de Police Kobli Remi
7. Sous-lieutenant Zakro Hervé
8. Adjudant Gosse Mathieu
9. Adjudant Zokou Bi Traguié
10. Adjudant Kouamé Kouakou
11. MDL chef Gnaloko Jonas
12. Adon Eustache
13. Amos Loba
14. Sergent Chef Faitai Kouakou Jean Henry
15. Déli Kié
16. MDL Sopi Grah
17. MDL Kéné K. Laurent
18. MDL Tchika Fabrice
19. Sgt Gnamké Ekolan
2. Mr Bahi Patrice
21. Mr Djékori Aimé
22. Mr Zéza Kaka Jean Louis
23. Mr Yodé Ozy

Les personnalités transférées dans la prison de Katiola :

1. M. Affi N'Guessan, président du FPI
2. M. Michel Gbagbo
selon des observateurs avertis, l'envoie de Gbagbo et des cadres LMP à Korhogo, Katiola , Odienné et Bouna, viserait aussi et surtout à démanteler la famille politique de l'ancien président, de sorte à réduire au silence l'opposition, du moins pour un temps, question de permettre au nouveau pouvoir Ouattara de marquer son territoire. En tout cas, il nous revient que d'autres cadres LMP, qui se trouvent encore détenus au Golf Hôtel, le seraient momentanément dans l'attente d'être transférés, eux aussi, à l'intérieur du pays. 

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L
<br /> Mon combat<br /> "Indépendance, Paix, Liberté, Patrie… !!!"<br /> <br /> La Communauté Internationale, l´ONU et après ? […]<br /> <br /> Quelle est le rôle des NATIONS UNIES ou la communauté internationale dans la misère des Peuples africains?<br /> Quelle place occupe l´Afrique et quel est son rôle dans cette communauté internationale l O.N.U ?<br /> Les Nations Unies : Une organisation pour le pillage en AFRIQUE !<br /> <br /> <br /> 1. Indépendance politique et la libération économique nécessaire<br /> 2. Nécessité d'une industrialisation de l'Afrique<br /> 3. L´aide extérieure augmente les chances<br /> 4. Chute de toute forme de domination étrangère<br /> <br /> <br /> · L'indépendance politique et la libération économique nécessaire<br /> <br /> Un mouvement de révolte gronde sur l´Afrique tout entier, mais rien ne permet<br /> l'affirmation, les pouvoirs impérialistes soient prêts à relâcher volontairement leur accès économique, politique et militaire. L'Afrique méprisée et privée {volée} de ses droits {raisons} joue un<br /> rôle primordial dans les plans {projets, budgets} d'expansion des puissances impérialistes aujourd'hui. Par des manœuvres habiles et sous le prétexte d'arrangements économiques, ces pouvoirs<br /> s'associent et ils coordonnent leurs efforts à l'établissement des bases militaires qui sont nécessaires, s'ils veulent exploiter les richesses énormes comme prévue.<br /> Ainsi le colonialisme incline à s'habiller en forme internationale; il tolère les drapeaux et les hymnes nationales africaines, mais il ne tolère pas que quelqu'un remue à ses intérêts.<br /> Prise de manière isolée, l'indépendance politique ne signifie en aucun cas libération nationale complète. Elle est certainement une étape décisive et nécessaire. Néanmoins, nous sommes contraints<br /> {forcés} de reconnaître, que l'indépendance nationale présuppose non seulement la libération politique, mais aussi et surtout une libération économique totale. Sans ces deux exigences, aucun<br /> progrès social n'est possible. Si l'Afrique doit se libérer cependant sur le plan économique, il ne faut pas plus longtemps, qu'elle soit considérée comme un réservoir de matière première.(Patrik<br /> Lumumba†1961) Nous devons souligner la situation actuelle du sous-développement de presque tout le continent africain. Elle est une conséquence directe du manque de chaque économie typiquement<br /> africaine. Les nouveaux Etats se trouvent, s'ils se libèrent de la servitude, en face de l'état de choses sérieuses, que l'économie africaine est morcelée et intégrée dans les domaines économiques<br /> des anciennes puissances coloniales respectives.<br /> A présent, l'économie africaine est fondée sur le commerce, et sa fonction essentielle est de faire un fardeau économique de la mère patrie de la colonie. L'Afrique est considérée comme un marché<br /> sur lequel chaque concurrence qui est soupçonnée de faire l'arrêt aux intérêts de la mère patrie est supprimée avec soin.<br /> Selon les hasards de la colonisation, aujourd'hui les pays africains voisins avec les réalités économiques identiques appartiennent absolument à des organisations économiques et commerciales<br /> différentes. En général nous ne trouvons nulle part une accumulation de capital qui serait capable d´assurer sur place les investissements nécessaires du développement économique et social de nos<br /> pays.<br /> Les outils {instruments} de notre économie n'existent pas; nous disposons seulement, que de quelques spécialistes de notre propre peuple; en réalité nous devons contribuer au développement des<br /> anciennes puissances coloniales, qui sont déjà très industrialisées: Est-ce que cet état peut mener, vers un peu d'autre, qu'à la ruine? Pour cette raison, aucun pays colonisé – en dépit de tous<br /> les discours humanitaires - n'a encore atteint un niveau social, qui serait comparable aussi seulement avec les plus bas niveaux de vie en Europe.<br /> <br /> · Nécessité d'une industrialisation de l'Afrique<br /> <br /> Nous avons à faire avec un cercle vicieux : Les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvre. Nous devons briser ce cercle, cela veut dire, nous devons<br /> complètement détruire le „pacte colonial". Seulement alors l'Afrique peut obtenir une économie avec un caractère national qui assure un meilleur avenir à ses peuples. Nous savons, qu'aujourd'hui<br /> l'idée d'un marché commun africain fait son chemin. La thèse s'impose, qu'une unité économique authentiquement africaine, qui part des intérêts à la population, doit être créée. Alors, il s´agit de<br /> convaincre les impérialistes, qu´en fin de compte toutes les nations industrielles - aussi les plus extrêmement développées - doivent être intéressées que l'Afrique construit sa propre économie et<br /> crée les bases pour sa propre industrialisation.<br /> La fausse pensée {idée} coloniale, que c'est impossible d'industrialiser l'Afrique doit être abandonnée en faveur des nouvelles idées, qui concluent au développement inévitable de tous les<br /> continents - y compris l'Afrique - et inclure la nécessité absolue d'une industrialisation des pays d'Afrique. Nous sommes convaincus que l'industrialisation de l'Afrique ne nui en aucun cas aux<br /> chances de développement des autres continents, mais elle augmente considérablement au contraire. Les besoins de l'Afrique s'accroîtront sur toutes les régions et dans tous les domaines. Seulement<br /> ceux-là, qui tiennent aujourd'hui l'économie mondiale dans la main, doivent s'adapter; ils ne doivent pas seulement s'accommoder de la politique mais aussi de l'émancipation économique de<br /> l'Afrique: Elle fait partie de l'harmonie et du nouvel équilibre du monde.<br /> <br /> · L´aide extérieure augmente les chances<br /> <br /> La lutte des peuples pour leur libération économique vient de commencer. Nous sommes aujourd'hui, mieux que jamais, armés et déterminés pour la mener à bon terme.<br /> Nous sommes convaincus que l'aide extérieure est absolument nécessaire pour atteindre rapidement nos objectifs. C'est pourquoi, nous accordons autant d'importance à une discussion ouverte et<br /> directe avec les autres peuples qui sont prêts à nous accorder leur soutien fraternel.<br /> Avant tout, nos jeunes Etats africains doivent surtout compter sur eux-mêmes. Ils doivent mobiliser leurs peuples complètement et entièrement pour faire disparaître les traces de la vieille<br /> domination et aborder les nouvelles tâches courageusement. Pour cette raison, la république de Guinée (Ahmed Sékou Touré* †1984) proclame constamment, que le combat du peuple guinéen est lié<br /> inséparablement au combat des autres peuples d'Afrique, d'Asie et du monde. Cela explique aussi notre joie, si nous saluons aujourd'hui, les nouveaux pays frères, qui prennent place à notre côté au<br /> saint de cette famille(O.N.U) internationale. Ils augmentent nos possibilités d'action et augmentent la chance pour la libération d´autres peuples. Ces nouveaux Etats feront connaissance, comme les<br /> autres, d´un sentiment fier, que donne la résistance contre les manœuvres d´isolement des impérialistes, qui toujours, rêvent encore de maîtriser le jeu de domination en Afrique.<br /> Les impérialistes ne s'opposent plus à la libération d'Afrique, mais ils espèrent chacun de son côté garder des États dévoués à eux en Afrique. C'est pourquoi, la satisfaction bienheureuse du camp<br /> impérialiste, face à l'apparition massive de jeunes États africains dans les Nations Unies! Nous devons en jouir avec la prudence.<br /> Réellement certains gens croient, que derrière des applaudissements forts {accueil favorable}, qu´ils pourraient cacher leur désir secret, qui n´est autre que de s´assurer des voix africaines dans<br /> le cercle des Nations Unies – non et non !!! pas pour l'émancipation de l'Afrique et de la lutte pour la paix mondiale, comme les grandes idées de la charte le veulent, mais, seulement pour leurs<br /> requêtes particulières, c´est à dire la consolidation de leur position en Afrique. Les oppresseurs d'hier parlent la langue des philanthropes plus parfaitement, ils espèrent flatter les<br /> gouvernements indépendants d'Afrique dans cette/notre organisation, pour soutenir leur politique régressive.<br /> <br /> · Chute de toute forme de domination étrangère<br /> <br /> Certainement, toutes les manifestations d'applaudissements, qui saluent de nouveaux membres des Nations Unies, ne signifient pas toutes les mêmes. Cependant, les dirigeants des nouveaux Etats<br /> d´Afrique ne sont heureusement pas des enfants. Ils n'accepteront pas cette nouvelle forme du colonialisme – à un moment, où sur tout l´ensemble du continent africain, le désir de liberté et de<br /> dignité sont prioritaires. Ils prouveront que la lutte héroïque de leurs peuples ne visait pas un drapeau, un hymne et – comme on dit si bien, une quelconque délégation des Nations Unies, mais à la<br /> chute de chaque forme de la domination étrangère et de la participation efficace à toutes les actions au service de la paix et du progrès.(Thomas. Sankara†1987)<br /> Nos peuples, qui étaient réprimés jusqu'à présent, ne sont pas appelés à être des peuples d´esclaves ; ses dirigeants ne voudront plus s´accommoder du rôle de marionnette, que l'on<br /> leur propose aux Nations Unies. Ceux qui comptent, agréablement, sur les voix africaines pour maintenir leurs positions en Afrique/dans les colonies seront en premier amèrement déçus. D´autres, qui<br /> ont les calculs similaires – même si aussi dans d´autres buts(peine perdue ici et là) -, peuvent maintenant, nous l´espérons, ainsi tirer les leçons qui s'imposent de cela maintenant. Il n'y a pas<br /> de chemin confortable pour l'achèvement de la libération de l'Afrique. Les impérialistes doivent renoncer à leurs privilèges. Il n'y a p<br /> <br /> <br />
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