L'ONUCI impliquée dans la destabilisation de la Côte d'Ivoire, la preuve.

Publié le par thruthway

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQJzYHjz8HgpeT7xhJIMyWdaKabguPTRlhoz7m4_2r5CloCTP67En plus  de ce document document confidentiel qui montre bien son implication et sa volonté d'en découdre avec le régime Gbagbo,

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on note la présence de certains casques bleus aux côtés du "commando invisible" installé à Abobo qui n'est rien d'autre que une branche de la rébellion armée actionnée par Guillaume Soro et Alassane Dramane Ouattara qui s’est installée depuis septembre 2002 dans la partie Centre nord et ouest du pays. Ils sont aidés dans leur tâche par des soldats venus de certains pays voisins de la Côte d’Ivoire et du contingent de l’Organisation des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci). Ces derniers ont formellement été identifiés sur le théâtre des opérations. Ce sont eux qui transportent et organisent les rebelles dans cette commune après les avoir armés avec des armes lourdes et autres Rpg7. Hier, au cours des combats qui ont eu lieu dans le secteur Pk 18 et de N’Dotré, un soldat de race blanche a tiré un lance-roquettes sur un véhicule qui avait à son bord des éléments du Centre de commandement et de sécurité (CeCos), blessant certains d’entre eux. Déjà, lors des affrontements qui ont eu lieu le 16 décembre dernier dans les environs de la résidence de Mme Thérèse Houphouët-Boigny, et du Golf, ces mêmes soldats de l’Onu en Côte d’Ivoire, ont été formellement identifiés grâce à leur casque « Bleu » aux côtés de ces mêmes rebelles qui se rendaient à la Rti pour « installer », Brou Aka Pascal, le journaliste rebelle. En dehors de la présence de ces soldats onusiens et ceux venus de certains pays de la sous-région qui constituerait le contingent de «L’Ecomog» souhaité par Guillaume Soro et Alassane Dramane Ouattara, plusieurs chefs de guerre ont été perçus à Abobo. Ce sont entre autres Koné Zackaria, Ibrahim Coulibaly dit Ib et le Capitaine déserteur de la gendarmerie nationale Allah Kouakou Léon. L’étau, selon les sources introduites est en train de se resserrer autour de ces derniers cités. (source: Le Temps)

Parmi les combattants qui viennent de certains pays de la sous-région, on signale la présence d'un commando burkinabé qui a pu s'installer à Abidjan grâce aux helicos de l'ONUCI. Ils ont été identifiés sur le théâtre des opérations dans les communes d'Abobo, de Treichville et de Koumassi. Lors des combats qui se sont déroulés le jeudi dernier dans la commune d’Abobo, précisément dans le quartier PK18, des dizaines de militaires du Burkina Faso y ont pris part. Quatre d'entre eux ont été faits prisonniers. Ces derniers se trouvent en ce moment aux mains des Forces de l’ordre, notamment la Police Judiciaire. 

Publié dans Actualité militaire

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